L’enseignement en formation professionnelle est constitué des pratiques que réalisent quotidiennement des milliers d’enseignants et d’enseignantes. Malheureusement, très peu de ces pratiques peuvent servir à d’autres qu’à celui ou celle qui les réalisent.
Cette situation fait en sorte que les enseignants et enseignantes de la formation professionnelle sont condamnés à continuellement réinventer la roue.
Pourrions-nous changer cela? Pour que cela puisse changer, il faut savoir de quoi il est question lorsque l’on traite de pratiques d’enseignement.
Cette petite vidéo vous présente la pertinence de constituer un patrimoine des pratiques d’enseignement en formation professionnelle.
Juil 18, 2016 @ 04:00:32
je remarque que dans la FP il existe des problème dans l’enseignement théorique et pas seulement pratique,dans plusieurs cas les problème préapprentissage des cours théorique abouti à avoir des problèmes de mise en place des connaissances acquis pendant la réalisation de la pratique. ( est ce que c’est possible ou si ennuyeux d’appliquer des techniques pédagogiques comme on les utilise dans l’enseignement éducatif.
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Août 17, 2016 @ 14:35:09
Votre commentaire illustre bien un problème fondamental de la formation théorique qui se concentre généralement sur l’acquisition de connaissances plutôt que sur l’apprentissage de ces dernières. Pour apprendre une notion théorique, pour être en mesure de la transférer dans la réalité, il faut que l’enseignant ait mis en place des situations d’apprentissage dont l’objectif est de faire découvrir le sens de ces informations et de la faire comprendre. L’apprenant passe ainsi de la signification au sens. Mais pour beaucoup d’enseignants, l’apprentissage se limite à la mémorisation de l’information. Dans ce cas, il ne faut pas se surprendre que les élèves ne transfert pas ces informations dans la pratique.
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Juil 10, 2016 @ 04:22:04
Bonjour,
Je suis d’accord avec vous. L’altruisme (gagnant gagnant)
est la philosophie que j’essaie de développer ( je suis un futur formateur en France). Je constate que le marché de l’emploi est tel, que mes futurs collègues sont plus des concurrents que des transmetteurs de savoirs; de peur de perdre leur place ou de devoir partager leurs heures de travail.
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